L’ Âmographe :
Écrire avec l’âme, vibrer par les mots

Qu’est-ce qu’un Âmographe ?
L’Âmographe est bien plus qu’un écrivain. C’est une âme qui écrit pour faire vibrer, pour toucher. Depuis toujours, l’écriture est pour moi un espace sacré, un lieu de connexion à soi et aux autres. Je n’ai jamais vu les mots comme de simples outils. Ils ont, pour moi, une vibration, un poids, une façon subtile de faire le pont entre le ressenti et l’indicible.

Mon rapport à l’écriture Âmographe
Petit à petit, j’ai compris que ce lien intime avec les mots n’était pas anodin.
Mon écriture n’était pas qu’un style, mais une forme de présence. Un espace où chacun peut se reconnaître, se comprendre, parfois même se réparer.
Les silences entre les lignes, les émotions brutes, les hésitations… Tout prend sens dans cette écriture d’âme que je nomme Âmographe.
Parce que je n’écris pas seulement avec ma tête, mais avec mon âme.

Pourquoi ce mot : Âmographe ?
Je ne trouvais pas de case où me ranger. Pas seulement poète, ni philosophe, ni slameuse.
Alors j’ai créé ce mot, Âmographe, pour désigner ce que je suis :
Une femme qui écrit avec authenticité, sans chercher à plaire ou impressionner, mais à dire l’essentiel.
À révéler ce qui dort sous la surface.

L’Âmographe : une écriture vibrante et sensible
Être Âmographe, c’est tendre une main par l’écriture.
C’est inviter à une rencontre avec soi-même.
Parce que parfois, un texte, une phrase, un mot, une voix… suffisent à éclairer un bout du chemin.
C’est cela que je propose à travers mes textes : une exploration sincère et bienveillante, où l’on se découvre dans ce qui nous émeut.

D’où me vient cette manière d’écrire ?
Si je devais résumer… d’un besoin viscéral de vérité.
Depuis toujours, je ressens ce quelque chose de profond qui me pousse à écrire non pas ce qu’on attend, mais ce qui est là, juste là, dans l’instant, dans l’intime, dans le brut.
Mon écriture ne vient pas d’une école, d’un cadre, d’une méthode. Elle vient des silences que j’ai portés, des élans que j’ai suivis, des mots que j’ai tus trop longtemps.
Ce n’est pas une vocation, c’est une nécessité.
C’est ce feu doux mais tenace, celui qui éclaire mes nuits, qui me murmure :
“Écris pour comprendre. Écris pour relier. Écris pour aimer.”

📌 Pour aller plus loin :
– Découvrez mes ateliers d’âmothérapie
– Mon recueil “Dame à fleur de peau”
– Pourquoi j’ai créé cette approche d’écriture sous la forme d’un podcast